Dans un temps sombre, l'œil commence à voir, Je rencontre mon ombre dans l'ombre qui s'approfondit; J'entends mon écho dans le bois qui résonne-- Un seigneur de la nature pleurant à un arbre. Je vis entre le héron et le roitelet, Les bêtes de la colline et les serpents de la tanière.
Qu'est-ce que la folie, sinon la noblesse d'âme En désaccord avec les circonstances ? Le jour est en feu! Je connais la pureté du désespoir pur, Mon ombre épinglée contre un mur en sueur. Cet endroit parmi les rochers - est-ce une grotte, Ou un sentier sinueux ? Le bord est ce que j'ai.
Une tempête régulière de correspondances ! Une nuit peuplée d'oiseaux, une lune en lambeaux, Et en plein jour, le minuit revient ! Un homme va loin pour découvrir ce qu'il est La mort du moi dans une longue nuit sans larmes, Toutes les formes naturelles flamboyant d'une lumière non naturelle.