Le conte de fées ne nie pas l'existence du chagrin et de l'échec : leur possibilité est nécessaire à la joie de la délivrance. Il nie (en dépit de nombreuses preuves, si vous voulez) la défaite finale universelle... en donnant un aperçu fugace de la joie ; une joie au-delà des murs du monde, poignante comme le chagrin.
Autor: J.R.R. Tolkien