Le printemps du puits est une boisson maigre et ingrate, un breuvage pour les sauteuses à l'estomac fragile, pour les lévriers des sables, pas pour les hommes. Il en est de même pour la source du jour : une heure ingrate, sans sève, une heure pour les coups de poignard dans le dos et les trahisons de sang-froid. Ah, donnez-moi du vin, des vices de midi, des iniquités aux sourcils d'airain.