Pensez à deux lignes parallèles. [...] L'une est la vie de Lee H. Oswald. L'autre est le complot visant à tuer le président. Qu'est-ce qui les sépare ? Qu'est-ce qui rend la connexion inévitable ? Il y a une troisième ligne. Elle provient de rêves, de visions, d'intuitions, de prières, des niveaux les plus profonds du moi. Elle n'est pas générée par la cause et l'effet comme les deux autres lignes. C'est une ligne qui traverse la causalité, qui traverse le temps. Elle n'a pas d'histoire que nous puissions reconnaître ou comprendre. Mais elle établit un lien. Elle met un homme sur la voie de son destin.