[...] et pourtant, n'y avait-il pas quelque chose à propos des [vampires] qui faisait vibrer une corde sensible de reconnaissance, voire de mémoire ? Les dents, le sang, la faim, l'union immortelle avec les ténèbres - et si ces choses n'étaient pas de la fantaisie mais un souvenir ou même un instinct, un sentiment gravé depuis des éons dans l'ADN humain, d'une certaine puissance obscure qui se trouve dans l'animal humain ?