Je refusais de croire que j'étais passé de la raison au délire en une nuit. Après réflexion, j'ai déterminé que je n'avais pas d'autres pensées folles. Je ne me prenais pas pour Napoléon, je ne pensais pas que mon bagel était un extraterrestre et je n'avais pas de voix dans ma tête qui me mettaient en garde contre des complots terroristes. Pour autant que je puisse en juger, j'étais encore du bon côté de la raison.