Les hommes de l'Ordeal ne marchent pas pour sauver le monde, Proyas, du moins pas en premier lieu. Ils marchent pour sauver leurs femmes et leurs enfants. Leurs tribus et leurs nations. S'ils apprenaient que le monde, leur monde, glisse vers la ruine derrière eux, que leurs femmes et leurs filles peuvent périr faute de leurs boucliers, de leurs épées, l'Hôte des Armées fondrait sur les bords, puis s'effondrerait.