J'aime la nature en partie parce qu'elle n'est pas l'homme, mais une retraite de l'homme. Aucune de ses institutions ne la contrôle ni ne l'envahit. C'est un autre type de droit qui prévaut. En son sein, je peux me réjouir d'une allégresse totale. Si ce monde n'était fait que d'hommes, je ne pourrais pas m'étendre, je perdrais tout espoir. Il est pour moi une contrainte, elle est pour moi une liberté. Il me fait souhaiter un autre monde. Elle me fait me contenter de celui-ci.