Dans son cerveau malodorant que de limaces et de fange, Lanterne dans ses yeux obliques, caniveau brûlé ! Son corps logeait un rat où les hommes nourrissaient des âmes. Le monde lui lançait des yeux vert raisin de chat déjoué Auprès de lui. Sur les fragments d'un vieux pouvoir rétréci, Sur les timides et les estropiés, sur les femmes malmenées, Il gisait, une carcasse intimidante, pour les écraser davantage. Mais quand l'un, sans peur, se tournait et griffait comme du bronze, Les coups étaient faciles à émousser ces pattes sévères, Et il pèserait d'autant plus lourd sur ceux d'après.
Qui se repose dans la méchante flatterie de Dieu maintenant ? Votre richesse n'est que sa ruse pour rendre la mort plus dure. Vos nerfs de fer prennent plus de douleur à se briser. Et il a fait le marché pour votre beauté Trop pauvre pour acheter, bien que vous mouriez pour vendre. Mais il a rongé une fibre à partir de racines étranges, Et au matin, un pâle émerveillement cesse.Hors de nous, mais il est comme un cheveu de nous, Et seulement dans le silence, aucun vent ne l'agite. Ah ! ce miasme d'un Dieu en décomposition !