Les temps seront durs, nous pouvons en être sûrs. Mais avec toute cette misère, quelles occasions de faire preuve de miséricorde et d'amour fraternel dans notre pays qui a tant péché contre l'amour. Et de patience ! Car c'est maintenant que les vainqueurs, dans le triomphe aveugle de leur victoire, risquent de commettre des erreurs. Mais cela ne nous concerne pas, car nous ne serons que les victimes, et non les agents de la souffrance. Quelle force de paix résidera dans notre propre impuissance, si nous pouvons seulement y apercevoir le signe de la grâce !