Pour expliquer l'écart croissant entre les cours des actions et la productivité réelle, Greenspan a fini par dire que, fortuitement, les lois de la nature avaient changé : l'humanité avait atteint un stade heureux de l'histoire où la connerie pouvait être utilisée comme carburant pour les fusées.

Autore: Matt Taibbi

Pour expliquer l'écart croissant entre les cours des actions et la productivité réelle, Greenspan a fini par dire que, fortuitement, les lois de la nature avaient changé : l'humanité avait atteint un stade heureux de l'histoire où la connerie pouvait être utilisée comme carburant pour les fusées. - Matt Taibbi

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