préparer un peu de thé ou de bouillon chaud et on le leur apportera ... sans leur demander s'ils en veulent. Ceux qui sont en grande détresse ne veulent pas de nourriture, mais si on la leur tend, ils la prendront machinalement...". Il y avait quelque chose de saisissant dans la sagesse de la matière, dans la compréhension instinctive des perturbations physiologiques... Je n'oublierai jamais la sagesse instinctive de l'ami qui, tous les jours pendant les premières semaines, m'a apporté un récipient d'un litre de congee aux échalotes et au gingembre de Chinatown. Du congee, je pouvais en manger. Le congee était tout ce que je pouvais manger.