Une révolution ne peut progresser sans le carburant de la terreur. Avec le temps, cette relation s'inverse : la révolution avance au nom de la terreur. Comme un artiste, l'homme qui crée la terreur doit être détaché, avoir du sang froid. Il doit garder à l'esprit que l'énergie de la terreur qu'il libère peut le consumer.
Autore: Kim Young-ha