Vous ne devez donc pas être effrayé, cher Monsieur Kappus, si une tristesse se lève devant vous, plus grande que toutes celles que vous avez jamais vues ; si une anxiété - comme la lumière et les ombres des nuages, se déplace sur vos mains et sur tout ce que vous faites. Vous devez comprendre qu'il vous arrive quelque chose, que la vie ne vous a pas oublié, qu'elle vous tient dans la paume de sa main et qu'elle ne vous laissera pas tomber.